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L'éducation est l'outil nécessaire à tout progrès de la personne et de son context; et davantage dans les zones vulnérables où elle est un élément vital du développement. Les mécanismes d'apprentissage dans la banlieue de Dakar sont structurés de plusieurs manières, y compris à partir de groupes d'étude par pairs. La communication vise à montrer quel est l'impact du capital social et culturel des jeunes du quartier pour lutter contre l'échec et le décrochage scolaire, d'une part, et d'un autre pour améliorer les conditions de leur contexte.

Pour réaliser cette analyse, on part d'un aproche méthodologique qualitative à partir de 32 entretiens à des jeunes qui sont en train d'étudier les dernières cours programme d'éducation de base. À fin de pouvoir détecter une cible la plus hétérogène possible, l'analyse a pris en compte 4 typologies d'établissements qui réunissent les profils éducatifs actuels du pays.

L'analyse a comme but aussi consacrer un point sur la situation de systèmes de rattrapage et révision des cours que les propres jeunes ont créé dans le quartier. Les amicales, groupes de révision et étude sont une source de succès dans un milieu où il n'existe pas des bibliothèques, salles d'études ni aucun espace qui donne de soutien aux jeunes.

Le résultat de cette première analyse nous montre qu'il est extrêmement important de pouvoir intégrer un groupe car il favorise cet apprentissage. Les structures des jeunes vont au-delà du simple étude partagé et leur capacité organisationnel est un facteur déterminant pour l'amélioration individuelle mais aussi pour l'environnement. Ce sont des agents de changement face aux adversités quotidiennes du quartier.

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